09-27-2013, 09:11 AM
Si tu n'es pas morte de ta piqure d'abeille et que tu n'as pas été admise en urgence à l'hôpital parce que ta vie était en danger, les médecins appelleront ça une "intolérance". 
Même un oedeme de quincke avéré ne conduit pas forcément à conclure à une "allergie".
Les tests pour les intolérances et les allergies sont les mêmes. Simplement, ils ne donnent pas le même résultat.
Quand on soupçonne une véritable allergie, au sens médical pur du terme, on fait les tests à l'occasion d'une hospitalisation (trois jours en ce qui me concerne), pour confirmer ou infirmer.
Tout ce qui n'est pas "allergie" mais qui provoque des réactions, si graves soient-elles, entre dans la catégorie "intolérance".
On peut être allergique à une substance jusqu'ici inconnue. On ne peut pas y être intolérant. Mais on peut tout à fait être intolérant à un aliment qu'on n'a jamais mangé, simplement parce qu'il contient des éléments qu'on a déjà ingurgité dans un autre aliment...
Les tests faits en hôpital sont fiables mais ils ne te permettent pas de détecter des intolérances légères. Ils permettent aux médecins de trancher sur la question allergie/intolérance, selon leurs critères, parce que la première est d'une gravité sans précédent (donc rarissime). Tu as donc raison de conclure comme tu le fais : j'ai vécu et c'est une expérience que je ne veux plus recommence. Pourtant il a été conclu que je n'étais pas à proprement parler "allergique" mais fortement intolérante.
Personnellement, je ne recommencerai pas. Cela n'offre aucun intérêt sinon celui de rassurer le médecin qui t'abandonne à ton sort immédiatement après ces conclusions et ne comprend pas pourquoi tu continues de refuser le traitement (en l'occurrence la pénicilline pour moi) qui te rend affreusement malade... alors qu'il est prêt à te bourrer simultanément de cortisone pour t'éviter une hospitalisation d'urgence... :S
Pour le reste (c'est-à-dire les intolérances), c'est encore avec les médecines parallèles et seulement avec elles qu'on peut aborder la question... et envisager une éviction puis réintroduction progressive... Pour ce qui est alimentaire, il faut voir Immu-pro. C'est cher et non remboursé. La seule "intolérance" alimentaire prise en considération par les médecins traditionnels est la maladie cœliaque, et encore : on te dira d'y renoncer définitivement (pas de traitement possible) et tu auras un petit dédommagement sécu mensuel pour faire face au cout d'une alimentation sans aucun gluten (c'est très couteux d'envisager l'éviction totale; très compliqué aussi).
Voilà l'état de mes connaissances actuelles.
A +
Lola
Même un oedeme de quincke avéré ne conduit pas forcément à conclure à une "allergie".Les tests pour les intolérances et les allergies sont les mêmes. Simplement, ils ne donnent pas le même résultat.
Quand on soupçonne une véritable allergie, au sens médical pur du terme, on fait les tests à l'occasion d'une hospitalisation (trois jours en ce qui me concerne), pour confirmer ou infirmer.
Tout ce qui n'est pas "allergie" mais qui provoque des réactions, si graves soient-elles, entre dans la catégorie "intolérance".
On peut être allergique à une substance jusqu'ici inconnue. On ne peut pas y être intolérant. Mais on peut tout à fait être intolérant à un aliment qu'on n'a jamais mangé, simplement parce qu'il contient des éléments qu'on a déjà ingurgité dans un autre aliment...
Les tests faits en hôpital sont fiables mais ils ne te permettent pas de détecter des intolérances légères. Ils permettent aux médecins de trancher sur la question allergie/intolérance, selon leurs critères, parce que la première est d'une gravité sans précédent (donc rarissime). Tu as donc raison de conclure comme tu le fais : j'ai vécu et c'est une expérience que je ne veux plus recommence. Pourtant il a été conclu que je n'étais pas à proprement parler "allergique" mais fortement intolérante.
Personnellement, je ne recommencerai pas. Cela n'offre aucun intérêt sinon celui de rassurer le médecin qui t'abandonne à ton sort immédiatement après ces conclusions et ne comprend pas pourquoi tu continues de refuser le traitement (en l'occurrence la pénicilline pour moi) qui te rend affreusement malade... alors qu'il est prêt à te bourrer simultanément de cortisone pour t'éviter une hospitalisation d'urgence... :S
Pour le reste (c'est-à-dire les intolérances), c'est encore avec les médecines parallèles et seulement avec elles qu'on peut aborder la question... et envisager une éviction puis réintroduction progressive... Pour ce qui est alimentaire, il faut voir Immu-pro. C'est cher et non remboursé. La seule "intolérance" alimentaire prise en considération par les médecins traditionnels est la maladie cœliaque, et encore : on te dira d'y renoncer définitivement (pas de traitement possible) et tu auras un petit dédommagement sécu mensuel pour faire face au cout d'une alimentation sans aucun gluten (c'est très couteux d'envisager l'éviction totale; très compliqué aussi).
Voilà l'état de mes connaissances actuelles.
A +
Lola