05-25-2013, 07:54 AM
Salut à tous,
Depuis 10 ans je souffrais de constipation de troubles urinaires, à chaque crise, un diagnostique de calculs dans la vessie était posé, il y a trois ans, alors que je n'allais pas bien du tout, j'ai fais part de ce diagnostique à mon nouveau médecin traitant qui l'a remis en cause en pensant que le problème provenait du colon dont l'irritation se transmettait à la vessie, il a eu le nez creux, une coloscopie a montré plein de polypes dans le colon dont l'un était comportait un début de cancer. Du coup il m'a été enlevé la moitié du colon. Normalement cela devait s'arrêter là, aucune chimio n'était prévue, mais l'opération a été mal réalisée, il y a eu une fistule (fuite). Le lendemain je sentais qu'il y avait une fuite, les gaz arrivaient dans le rectum puis je les sentais se diffuser doucement dans le ventre, bien entendu puisque je n'étais pas médecin, je ne pouvais pas savoir mieux que le chirurgien, je racontais forcement n'importe quoi, sauf que trois jours après j'étais mourant il a fallu réopérer d'urgence et réaliser une colostomie (anus artificiel sur le ventre), sept mois plus tard le rétablissement de la continuité de l'intestin a été réalisé avec succès.
Pourtant je ne me sentais toujours pas bien, les mêmes symptômes que lors de ma première visite chez le médecin étaient toujours présents, bouffées de chaleur, prise de poids, fatigue extrême, douleur dans le testicule qui me restait, le premier ayant été enlevé 25 ans plus tôt en raison d'un cancer. A plusieurs reprise je pose la question d'une récidive possible du cancer du testicule, sûr de lui, le médecin me dit qu'une récidive après 50 ans est impossible et que si ça fait mal c'est que ce n'est pas un cancer, je me vois prescrire une nouvelle fois des antibiotiques, jusqu'au jour ou je frappe du poing sur son bureau et exige qu'il me prescrive une échographie, laquelle révéla un cancer déjà bien avancé, ablation, chimiothérapie très lourde, surveillance, tout semble indiquer une rémission pourtant je suis dans un état déplorable, je consulte plus de quinze médecin, généralistes, spécialistes, urgentistes, sos médecins, acupuncteurs et autres médecins "c hinois" , tous me disent que ce doit être le traitement de substitution de testostérone que je ne supporte pas. Un jour, n'en pouvant plus, je me résouds à arrêter les injections de testostérone, quelles qu'en soient les conséquences, puis me vient l'idée de vérifier les effets indésirables possible du traitement préventif contre le diabète (stagid) qui m'avait été prescrit conte tenu du taux un peu élevé de glycémie après les premières perfusions, il faut dire que, bien qu'à jeun total pendant 17 jours plus une semaine de bouillon, j'étais ressorti de l'hôpital avec huit kilos de plus :-( c'est qu'il l'avaient gavée la bestiole. Je me rends compte que j'avais tous les effets indésirables décrits dans la notice du stagid, je cesse ce traitement censé lutter contre le diabète, au bout de trois jours mon taux de glycémie est revenu à la normale, je suis enfin capable de marcher normalement, au bout de quinze jours je suis en pleine forme, je commence à relancer mon activité professionnelle, c'est le retour à la vie.
Mais très vite la fatigue revient, je reprends du poids sans raison, ma vue est très basse et trouble, j'ai des problèmes intestinaux sévères, des douleurs articulaires très violentes, les mains et les pieds gonflés et parfois cyanosés… je reprends donc ma croisade pour trouver un diagnostique, mais personne n'est capable de relier tous ces symptômes entre eux, on m'envoie en rééducation dans une clinique spécialisée, je joue le jeu sans trop y croire, mais je ne tiens pas bien longtemps. Une nouvelle fois je me tourne vers internet, tout ce que je vois est assez effrayant, jusqu'au jour ou partant d'un symptôme qui semblait anodin, muguet sur la langue, je suis tombé sur des témoignages de personne atteinte de candidose chronique, tous mes symptômes semblent correspondre, j'en parle au médecin qui me prescrit un traitement de Fluconazole 400 mg/jours + Fungizone 10%, les symptômes disparaissent, il semble y avoir une réaction positive, mais très vite des maux de tête insupportables apparaissent ainsi que des nausées et de la fièvre. Suspectant une méningite, on me fait une ponction lombaire qui s'avère négative, mais qui amplifie mes maux de tête à l'insupportable, ayant mal une oreille dont le tympan est rouge je reparte encore une fois avec des antibiotiques pour une soi disant otite, mais çà ne change pas grand chose, jusqu'à ce que, suspectant encore une intolérance médicamenteuse, je cesse le traitement anti-fongique, les maux de tête s'estompent, mais les symptômes de la candidose réapparaissent de plus belle. Mon oncologie me dit d'aller consulter au service des maladie infectieuse de la crois rousse, mon médecin fait un courrier en parlant de "mycoses récidivantes", mon cas n'est pas jugé assez important pour être pris en charge, je ne sais pas ce qu'il leur faut, toutefois ils me demandent de faire un dépistage du vih, je comprends que je ne serai reçu que si je suis séropositif, ce dont je doute.
Je pense que pendant tout le temps ou j'étais sous acidose lactique à cause du stagid, l'infection fongique, compte tenu d'un terrain acide non favorable, était contenue, mais dès qu'elle a trouvé un terrain favorable elle s'est répandue. Voilà ou j'en suis, j'ai acheté le livre du dr Besson; "je me sens mal, mais je ne sais pas pourquoi", je comprends que ça va être un long combat contre cette candidose chronique, je suis les conseils prescrit concernant l'alimentation, mais rien ne bouge pour le moment, mardi je vais demander au médecin de me prescrire des prélèvements afin d'identifier le germe qui est en cause, je ne sais pas trop quels prélèvements il faut faire, je compte sur vos lumières.
Au fait, je pense que vous avez compris pourquoi je parle de serment d'hypocrite :-)
Depuis 10 ans je souffrais de constipation de troubles urinaires, à chaque crise, un diagnostique de calculs dans la vessie était posé, il y a trois ans, alors que je n'allais pas bien du tout, j'ai fais part de ce diagnostique à mon nouveau médecin traitant qui l'a remis en cause en pensant que le problème provenait du colon dont l'irritation se transmettait à la vessie, il a eu le nez creux, une coloscopie a montré plein de polypes dans le colon dont l'un était comportait un début de cancer. Du coup il m'a été enlevé la moitié du colon. Normalement cela devait s'arrêter là, aucune chimio n'était prévue, mais l'opération a été mal réalisée, il y a eu une fistule (fuite). Le lendemain je sentais qu'il y avait une fuite, les gaz arrivaient dans le rectum puis je les sentais se diffuser doucement dans le ventre, bien entendu puisque je n'étais pas médecin, je ne pouvais pas savoir mieux que le chirurgien, je racontais forcement n'importe quoi, sauf que trois jours après j'étais mourant il a fallu réopérer d'urgence et réaliser une colostomie (anus artificiel sur le ventre), sept mois plus tard le rétablissement de la continuité de l'intestin a été réalisé avec succès.
Pourtant je ne me sentais toujours pas bien, les mêmes symptômes que lors de ma première visite chez le médecin étaient toujours présents, bouffées de chaleur, prise de poids, fatigue extrême, douleur dans le testicule qui me restait, le premier ayant été enlevé 25 ans plus tôt en raison d'un cancer. A plusieurs reprise je pose la question d'une récidive possible du cancer du testicule, sûr de lui, le médecin me dit qu'une récidive après 50 ans est impossible et que si ça fait mal c'est que ce n'est pas un cancer, je me vois prescrire une nouvelle fois des antibiotiques, jusqu'au jour ou je frappe du poing sur son bureau et exige qu'il me prescrive une échographie, laquelle révéla un cancer déjà bien avancé, ablation, chimiothérapie très lourde, surveillance, tout semble indiquer une rémission pourtant je suis dans un état déplorable, je consulte plus de quinze médecin, généralistes, spécialistes, urgentistes, sos médecins, acupuncteurs et autres médecins "c hinois" , tous me disent que ce doit être le traitement de substitution de testostérone que je ne supporte pas. Un jour, n'en pouvant plus, je me résouds à arrêter les injections de testostérone, quelles qu'en soient les conséquences, puis me vient l'idée de vérifier les effets indésirables possible du traitement préventif contre le diabète (stagid) qui m'avait été prescrit conte tenu du taux un peu élevé de glycémie après les premières perfusions, il faut dire que, bien qu'à jeun total pendant 17 jours plus une semaine de bouillon, j'étais ressorti de l'hôpital avec huit kilos de plus :-( c'est qu'il l'avaient gavée la bestiole. Je me rends compte que j'avais tous les effets indésirables décrits dans la notice du stagid, je cesse ce traitement censé lutter contre le diabète, au bout de trois jours mon taux de glycémie est revenu à la normale, je suis enfin capable de marcher normalement, au bout de quinze jours je suis en pleine forme, je commence à relancer mon activité professionnelle, c'est le retour à la vie.
Mais très vite la fatigue revient, je reprends du poids sans raison, ma vue est très basse et trouble, j'ai des problèmes intestinaux sévères, des douleurs articulaires très violentes, les mains et les pieds gonflés et parfois cyanosés… je reprends donc ma croisade pour trouver un diagnostique, mais personne n'est capable de relier tous ces symptômes entre eux, on m'envoie en rééducation dans une clinique spécialisée, je joue le jeu sans trop y croire, mais je ne tiens pas bien longtemps. Une nouvelle fois je me tourne vers internet, tout ce que je vois est assez effrayant, jusqu'au jour ou partant d'un symptôme qui semblait anodin, muguet sur la langue, je suis tombé sur des témoignages de personne atteinte de candidose chronique, tous mes symptômes semblent correspondre, j'en parle au médecin qui me prescrit un traitement de Fluconazole 400 mg/jours + Fungizone 10%, les symptômes disparaissent, il semble y avoir une réaction positive, mais très vite des maux de tête insupportables apparaissent ainsi que des nausées et de la fièvre. Suspectant une méningite, on me fait une ponction lombaire qui s'avère négative, mais qui amplifie mes maux de tête à l'insupportable, ayant mal une oreille dont le tympan est rouge je reparte encore une fois avec des antibiotiques pour une soi disant otite, mais çà ne change pas grand chose, jusqu'à ce que, suspectant encore une intolérance médicamenteuse, je cesse le traitement anti-fongique, les maux de tête s'estompent, mais les symptômes de la candidose réapparaissent de plus belle. Mon oncologie me dit d'aller consulter au service des maladie infectieuse de la crois rousse, mon médecin fait un courrier en parlant de "mycoses récidivantes", mon cas n'est pas jugé assez important pour être pris en charge, je ne sais pas ce qu'il leur faut, toutefois ils me demandent de faire un dépistage du vih, je comprends que je ne serai reçu que si je suis séropositif, ce dont je doute.
Je pense que pendant tout le temps ou j'étais sous acidose lactique à cause du stagid, l'infection fongique, compte tenu d'un terrain acide non favorable, était contenue, mais dès qu'elle a trouvé un terrain favorable elle s'est répandue. Voilà ou j'en suis, j'ai acheté le livre du dr Besson; "je me sens mal, mais je ne sais pas pourquoi", je comprends que ça va être un long combat contre cette candidose chronique, je suis les conseils prescrit concernant l'alimentation, mais rien ne bouge pour le moment, mardi je vais demander au médecin de me prescrire des prélèvements afin d'identifier le germe qui est en cause, je ne sais pas trop quels prélèvements il faut faire, je compte sur vos lumières.
Au fait, je pense que vous avez compris pourquoi je parle de serment d'hypocrite :-)