Pas de crime sucré en ce qui me concerne : je n'ai jamais été fan de sucre et je ne m'intéresse aux desserts que pour faire plaisir en préservant la santé de ceux que j'aime et dont je connais les abus lorsqu'ils sont loin de moi
Alors je les soigne quand ils viennent gouter mes créations, de manière indirecte : c'est toujours ce sucre-là de moins dans leurs estomacs industrialisés.
Du coup, te dire si les écarts me nuisent est un peu difficile. Le fait est que, lorsque j'ai réintroduit le miel dans mes yaourts, il ne s'est rien produit de particulier... mais je n'ai pas de "vieilles réserves" sucrées dans l'organisme et surtout pas de propension boulimique avec le sucré. C'est donc facile pour moi de ne faire que de rares "écarts", totalement isolés... et toujours naturels...
ou presque
: il m'est arrivé, par contre, de céder au paquet de bonbons (d'une marque bien connue pour être des plus chimiquement délicieuses) de mes Tanguy (je suis un peu restée gamine pour ces cochonneries-là, peut-être un côté "totoche" pour l'enfant mal finie que je suis
) sans vraiment faire gaffe : là, c'est la crise de foie assurée et magistrale (peut-être justement parce que je ne suis pas habituée
). Du coup, maintenant, je leur demande d'aller les manger ailleurs.
Si la réponse est controversée en matière de réintroduction, c'est sans doute que nous ne sommes pas tous égaux face au problème du sucre.
Ta propre réponse t'appartient donc. Et tu trouveras ton ajustement personnel, je n'en doute pas.
Perso, j'ai une acupunctrice qui me voit tous les mois depuis 2 ans. Selon moi, c'est elle qui m'a empêchée de mourir par deux fois l'an dernier. Mais, là encore, c'est une vision subjective de la chose.
Ce qui est sûr, c'est que, tous les mois, elle me remet poumons, foie, rate et pancréas d'aplomb... et que, sans ce travail mensuel, il y a fort à parier que mes efforts alimentaires ne m'auraient pas suffi pour aller, parfois comme si comme ça (malgré la maladie aiguë) et parfois carrément bien comme depuis quelques mois.
Rien à dire sur tes suppléments, je ne les connais pas. J'en prends fort peu. Pour moi, comme je l'ai dit ailleurs c'est argent colloïdal ou cuivre-or-argent dans les périodes de crise, zinc et magnésium quand ma peau se fâche, et ce que je t'ai précisé pour mon foie.
Les antifongiques, je les ai pris toujours au naturel (curcuma, ail et coco sous toutes ses formes), sauf le fungizone prescrit par mon interniste, qui ne m'a fichtrement pas réussi sur le moment même s'il a vaincu le muguet buccal.
Mais, attention, je ne suis pas forcément un exemple à suivre : j'ai une candidose systémique, d'expression intermittente, en raison de ma pathologie chronique (comme les diabétiques) : on surveille donc l'état de ma candidose (dans son expression clinique) comme on prendrait ma température pour vérifier mon état de santé. Du coup, je ne cherche pas à en guérir (j'essaie juste de limiter la casse) mais à guérir des causes (si c'est possible : d'où le travail d'entretien mensuel de l'acupunctrice), dont certaines sont évidemment restées très obscures.
Sinon, sport, sport, sport et plein air au maximum. Et, comme j'adore autant que cuisiner, ça ne me donne aucun mal. La lumière, l'activité, l'air pur et le soleil sont autant de remèdes efficaces sur le moral comme la santé. Les autres aussi... quand ils sourient...
J'espère que mes réponses t'apporteront tout de même assez d'éléments pour te permettre d'organiser ta propre stratégie.
Je te souhaite une excellente fin de journée,
Lola
Mais le régime anti-candida est suffisamment restrictif pour ne pas permettre tellement d'excès mauvais pour le foie.
