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[Redirigé] Derrière la candidose, le mercure ?
#11
Franz-Xavier Reichl, dans son Atlas de poche de médecine de
l’environnement décrit ainsi ce qu’il appelle « le syndrome de
l’Amalgame » : « douleurs musculaires et articulaires, abdominales, accès
de sueur, céphalées, surpoids, troubles respiratoires, toux, vertiges, nausées,
troubles de la vue, de l’audition, chute de cheveux, dépression, épuisement,
perturbations du sommeil, irritabilité, anxiété, troubles digestifs, difficultés
cognitives ».
Au début, on remarque à peine quelques douleurs ou malaises et
une fatigue, que les patients essaient de s’expliquer, mais qui, au lieu de
s’estomper, s’accroissent au fil du temps et deviennent de plus en plus
impossibles à justifier…
Progressivement apparaissent des troubles psychologiques et des
difficultés cérébrales ; les personnes atteintes ne se reconnaissent plus, ne
comprennent pas ce qui se passe, ont la sensation d’être vieilles avant l’âge.
L’atteinte neurologique (les neurones étant la cible préférentielle
du mercure) se traduit par des fourmillements dans les membres, des
engourdissements, des tremblements parfois, jusqu’à des troubles de
la coordination et de la perception : on ne sent plus momentanément
certains endroits de son corps… D’autres problèmes apparaissent :
infections virales (herpès) récidivantes, mycoses, mononucléose, sclérose
en plaques, maladies auto-immunes, diabète, problèmes de thyroïde,
troubles dermatologiques, ou cancer.


Voici les troubles les plus fréquents pouvant orienter vers la thèse de
l’empoisonnement aux métaux lourds
- Grande fatigue inexpliquée et constante, augmentant au fil du temps
- Maux de tête
- Douleurs au dos (souvent dans le haut), aux cervicales et/ou aux
membres/épaules
- Apathie
- Indifférence
- Troubles psychiques (instabilité de l’humeur, timidité, repli, angoisse,
dépression, irritabilité, agressivité, accès de colère, nervosité, difficultés
décisionnelles, instabilité émotionnelle)
- Difficultés cérébrales (mémoire, concentration, on ne trouve pas ses
mots, on se trompe de plus en plus souvent de mot)
- Troubles digestifs (diarrhées ou constipation ou douleurs abdominales)
- Troubles du sommeil (insomnies ou hypersomnies)
- Problèmes dans la bouche (dents qui bougent, aphtes à répétition,
inflammation, gonflement, saignement des gencives, sécheresse buccale
ou au contraire hyper salivation, brûlures dans la bouche, goût métallique,
pigmentation noirâtre ou grisâtre de la muqueuse)
- Sinusites et maux de gorge à répétition
- Autres infections à répétition, mycoses, herpès
- Hypoglycémie (coups de pompe inexpliqués, fréquents, avec sensation
de faiblesse)
- Spasmes ou crampes musculaires ou contractions involontaires (tremblements
des paupières, etc.)
- Problèmes de peau
- Allergies
- Difficultés de respiration, oppressions dans la poitrine
- Candidoses récidivantes


Vous présentez plusieurs de ces symptômes ? Au lieu de disparaître,
ils s’accentuent au fil du temps ? Les investigations classiques ne vous
ont rien trouvé ? Vous avez ou avez eu des amalgames dentaires ? Une intoxication peut être suspectée. Ces signes avant coureurs subsistent
quelques semaines, des mois, voire des années avant que l’intoxication
chronique ne se révèle ouvertement, par des problèmes plus graves, tels que :
- Vertiges résistants aux traitements
- Déclin cognitif
- Troubles de la sensibilité (perturbation dans le toucher, l’odorat, la vision,
l’audition)
- Fourmillements, engourdissements et/ou gonflement des extrémités
- Tremblements des mains, des lèvres, des paupières
- Grande faiblesse générale et manque d’énergie
- Élocution difficile
- Photophobie
- Électrosensibilité (sensibilité aux CEM : champs électromagnétiques des
ordinateurs, portables, antennes relais)
- Syndrome sec
- Maux d’estomac
- Fièvres persistantes
- Douleurs articulaires et/ou musculaires
- Pertes de cheveux ou de cils
- Eczéma
- Troubles cardiaques
- Troubles auditifs (acouphènes)
- Troubles visuels (champ visuel rétréci)
- Hyper/hypothyroïdie
- Névralgie faciale
- Difficultés de coordination des mouvements
- Problèmes de la bouche (inflammations, coloration cuivrée-orangée de
la muqueuse buccale, taches noires et/ou violettes sur les gencives)
- Tics
- Tétanie
- Idées fixes
- Mouvements involontaires
- Affaiblissement du système immunitaire provoquant une très grande
sensibilité aux infections
- Avortement spontané
- Mise au monde d’un enfant malformé, trisomique, spina bifida ou autiste
- Sclérose en plaques
- Sclérose latérale amyotrophique
- Diabète
- Mononucléose
- Fibromyalgie
- Hypersensibilité, photophobie, hyperacousie, extrême sensibilité à tous
les stimuli
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#12
Un lien sur le blog du Dr Mc Comb très intéressant qui argue la fausseté du lien entre candidose et mercure...
http://candidaplan.com/blog/1337/10-candida-myths-3/

Le point 6 (traduction google)
Mythe # 6 - Mercure nourrit Candida
Ce mythe semble être lancé par des gens qui pensent que le mercure détermine tout dans le corps. La seule explication possible que je peux venir avec est que le mercure aurait un effet inhibiteur sur le système immunitaire, ce qui peut permettre à candida fongique de se propager sans entrave. La quantité de mercure nécessaire pour avoir un effet suppressif systémique dans le corps serait plus grande que la plupart des gens à composer avec. De toute façon, je n'ai jamais vu une recherche qui indique que le mercure se nourrit le candida.

Les gens qui soutiennent généralement l'idée que le mercure se nourrit revendication de candida que certains médecins ont souligné que la plupart des gens qui ont des infections à Candida ont aussi la toxicité du mercure. Si cela était vrai seulement par association, il s'appliquerait également pour les parasites, et d'autres métaux lourds et des produits chimiques. L'Américain moyen a une grande charge de produits chimiques dans les tissus. Cela ne signifie pas que ces produits chimiques se nourrissent aussi candida. C'est une hypothèse erronée de faire simplement parce que deux ou plusieurs problèmes se posent dans le corps en même temps.
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#13
Dans le bouquin du Dr Lallement Michel (chirurgien en cancérologie) : les 3 clés de la santé : page 87 et 88,

il parle d'une nouvelle technique pour déterminer les taux de minéraux et de métaux toxiques grâce à un appareil appelé Oligoscan, directement dans les tissus (en pratique la paume de la main.

Son coût est de 50€.

Les personnes intéressées par cet examen pourront trouver la liste des praticiens équipés d'un Oligoscan en passant par le site du revendeur : www.physioquanta.com rubrique Oligoscan.
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#14
Salut à tous,

Voici ce que dit le Dr Besson dans son ouvrage "Je me sens mal, mais je ne sais pas pourquoi...! La candidose chronique, une maladie méconnue." 3e édition (2011) et qu'il ne disait pas dans les 2 éditions précédentes:
La relation du candida albicans avec le mercure
Le candida albicans est l'espèce microbienne qui résiste le mieux au mercure. Il est capable de transformer le mercure inorganique en méthyle-mercure organique (S. Yannai, 1. Ber- dicevsky, L. Duek, «Applied and environmental Microbio- logy», Jan. 1991, p. 245-247.) Or, les formes les plus toxiques du mercure sont les sels minéraux solubles, qui sont des poisons violents, ainsi que les composés organiques, tels que le méthyle-mercure, soluble dans les graisses et donc susceptible de franchir les membranes cellulaires. Une cible importante du MeHg est le système nerveux central (CNS).
Ainsi, la présence du candida rend le mercure plus dangereux; mais l'inverse est aussi vrai: le mercure attaque le système immunitaire, et une fois celui-ci affaibli, le candida trouve un terrain beaucoup plus propice à son développement.
En revanche, pour les Drs Klinghardt et Joachim Mutter, il semble évident que les maladies infectieuses ne sont très souvent qu'une tentative du corps pour se défendre contre le mercure, et c'est particulièrement le cas des candidoses. Le candida capte le mercure et le lie dans sa paroi; le corps peut ainsi mieux gérer une infection à champignons que la présence de mercure libre. Pour eux, le candida albicans serait le principal chélateur du mercure dans l'organisme.
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#15
Bonjour à tous.

J'ai trouvé le lien que je cherchais entre candidose et mercure, lequel provoque lequel? comment ils s'influencent l'un l'autre.

La réponse se situe dans cette étude : Safety and efficacy of oral DMSA therapy for children with autism spectrum disorders: Part A - Medical results

Je cite : "High oral antibiotic usage is concerning because previous rat studies found that oral antibiotics resulted in a near-total loss of the ability to excrete mercury [3,11]. The reason appears to be that normal gut anaerobes are able to convert methylmercury (which is rapidly absorbed) into inorganic mercury (which is poorly absorbed and hence mostly excreted). In contrast, most strains of yeast and E. coli carry out the reverse reaction, namely the methylation of inorganic mercury to methylmercury [12]. So, high oral antibiotic use leads to a loss of normal gut flora and an increase in yeast and E. coli, resulting in a loss of ability to demethylate methylmercury and an increased methylation of inorganic mercury, ultimately resulting in decreased excretion and increased uptake of mercury."

Pour résumer, la flore intestinale commensale normale, transforme le méthylmercure (CH3Hg+, celui qui est fortement absorbé) alors que les candidas et les E. coli (et sûrement d'autres bactéries comme le staphylocoque doré) transforme le mercure inorganique (Hg2+, celui qui est très toxique mais peu absorbé, à seulement 20%) en méthylmercure.
Ce qui explique tout pour moi. En effet, cet "épisode de symptômes" contre lequel je n'ai rien pu faire avant de commencer la chélation a commencé par le développement d'un staphylocoque doré suite à une intoxication alimentaire. Mon système digestif devait sûrement être déjà confronté à une forte quantité de mercure mais il parvenait à le déméthylyser et à l'éliminer, chose qui s'est inversée suite à l'apparition du staphylocoque doré, qui ne m'a pas lâché depuis.

J'espère que cela éclaircira quelques situations pour d'autres. Bonne détoxification à tous.
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#16
Dans mes 2 témoignages de guérison de la colopathie et des candidoses chroniques qui l’accompagnaient, j’ai écrit :
« Lors du dernier trimestre 2009, mon nouveau dentiste, J.C, doit me faire plusieurs interventions car ma bouche est douloureuse depuis de très longues années. Elle est rafistolée avec six ou sept amalgames et huit couronnes en or blanc ou en céramique.
Sur la mâchoire supérieure, deux de mes couronnes sont côte à côte ; l’une est en or blanc, l’autre en céramique avec une structure acier à l’intérieur. La couronne en or date de plus de 20 ans ; et il se trouve qu’elle a été posée sur une dent non dévitalisée.
La couronne en céramique, plus récente, a été posée par le dentiste F.M qui n’a pas percuté que la céramique n’étant pas suffisamment étanche permettait à l’acier d’être en contact direct avec l’or, son voisin de palier.
D’après mon dentiste actuel, J.C cette configuration provoquerait de nombreux troubles intestinaux, notamment ma colopathie fonctionnelle. En effet la racine toujours présente, diffuserait des toxines, et le contact or/acier serait une source d’électrolyse et donc une diffusion de particules de métaux lourds dans l’organisme par le biais de la salive…Ceci sans oublier mes amalgames qui contiennent notamment du mercure, ces plombages qui en présences de mes couronnes provoqueraient des candidoses (ou muguet buccal) et des gingivites inflammatoires sanguinolentes qui envahissent ma bouche tous les hivers. Pour remédier à la situation, J.C remplace les anciennes couronnes par de la céramique ayant une structure composée d’un alliage or/palladium.
Selon le dentiste J.C, la pose d’une couronne en or blanc sur ma dent non dévitalisée, n’aurait pas arrangé ma colopathie fonctionnelle. D’ailleurs elle n’a cessé d’aller crescendo avec le rajout d’autres couronnes dentaires. En faisant plus court, plus le mélange des métaux augmentait, plus ma colopathie fonctionnelle s’aggravait, ainsi que mes candidoses à répétition.» Cymone
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