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Sur les probiotiques
#1
Pro biotiques par ici :

Natural and Commercial Probiotics
http://blog.probacto.com/the-complete-ca.../#chapter8

Sur ce site, on trouve également une mine d'or probio :
si vous regardez en bas à droite il y a un dossier pro biotique très très complet avec une foule d'items :

http://blog.probacto.com/probiotics-and-...-probacto/

- Probiotics and Candida: Probacto
- How To Choose A Good Probiotic?
- Probiotics Can Alleviate GI Problems Of Down’s Syndrome Patients
- Why Irritable Bowel Syndrome Does Not Spell Your Doom Thanks To Probiotics
- Can Probiotics Control Cholesterol Levels?
- Probiotics & Urogenital Yeast Infections – Can It Help?
- Can Probiotics Help Your Battle With Diabetes?
- Break To The Degenerative Process of Alzheimer’s Disease ; Probiotics, The New Promise!
- Probiotics Can Help Children With Battling Autism
- Probiotics Can Control Cholesterol Levels
- Natural Sources Of Probiotics
- Role Living Organisms Play In Better Health
- Exploring Kefir – Vegan Alternatives to Fermented Dairy

et également par ici : toutes les questions que vous pouvez vous poser sur les probiotiques :
http://probiotics101.probacto.com/

http://blog.probacto.com/taking-probioti...onid-acid/

Il y a également aujourd'hui les actifs LB qui sont là pour favoriser la croissance de nos propres probiotiques :
http://www.solvida.org/04df069be7088a015...d3480d.php

On en trouve notamment dans le protocole Kousmine
http://www.parinat.com/prod_name/lab-symbiodor.aspx

Ne pas prendre à la fois probio et actifs LB.

Et ne pas oublier les FOS
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#2
Un lien sur alternative-santé

- un usage empirique centenaire
- les vrais bienfaits des probiotiques
- à chaque probiotique sa pathologie
- mal tolérés dans certains cas (je pense à Matt)
- ne prenez pas seulement des probiotiques si

http://www.alternativesante.fr/probiotiq...son-talent


Je cite car le contenu n'est pas accessible hors abonnement :

Probiotiques, chaque souche a son talent


Les probiotiques sont présentés aujourd’hui comme des remèdes polyvalents et on en vante abondamment les bienfaits, notamment au niveau de l’intestin. Mais n’utilise-t-on pas ces micro-organismes très fragiles un peu à tort et à travers ? Certaines souches particulières ont des effets ciblés sur certaines pathologies. Voici comment composer votre armée de bactéries.

Fortement médiatisés depuis quel­ques années, participant au groupe des meilleures ventes au sein des compléments alimentaires, les probiotiques font l’objet d’un véritable phénomène de mode. Mais cet engouement correspond-il toujours à une véritable réponse thérapeutique ?

La question se pose aujourd’hui, vu le panel d’indications qui ne cesse de s’élargir au point de faire accroire qu’ils pourraient être la panacée à tous nos maux physiques. Or avoir recours à des probiotiques n’est pas forcément bénéfique. En effet, leur tolérance n’est pas toujours optimale. Par ailleurs, pour certaines pathologies, il faut envisager d’y avoir recours selon un certain protocole sous peine que leur action aille à l’encontre du but recherché.
Un usage empirique centenaire

Au début du siècle dernier, Élie Metchnikoff (Prix Nobel de Physiologie et de Médecine en 1908) rapporte la longévité extrême de certaines populations rurales de Bulgarie à leur consommation régulière de produits laitiers fermentés. Il conseille le reste de sa vie l’adoption au quotidien de ce type d’aliments.

Dans la foulée, apparaissent au début des années 1920 les premiers laitages fermentés vendus en pharmacie, suivis des premiers compléments alimentaires à base de lactobacilles (Lactéol), puis de levures (Ultra-Levure).

Selon la définition du Codex alimentarius de 2001, les probiotiques sont des « micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates, produisent un bénéfice pour la santé de l’hôte ». À la différence des bactéries résidentes, les probiotiques transitent par le tube digestif mais ils ne le colonisent pas.

Malgré ce temps de passage relativement court, ils vont pouvoir être efficaces, mais seulement si certaines conditions sont remplies, telles que leur très grand nombre dans le complément alimentaire ingéré, leur capacité de résister à l’acidité de l’estomac et à l’action des sels biliaires (condition sine qua non de leur accès à l’intestin) et la présence au niveau du gros intestin de certains sucres simples dont ils pourront se nourrir (les prébiotiques).

À ce jour, la liste des probiotiques est loin d’être close. Les plus étudiés appartiennent aux familles suivantes : bifidobactéries (B. bifidum, B. breve, B. longum), lactobacilles (L. acidophilus, L. casei, L. gasseri, L. plantarum, L. rhamnosus, L. reuteri), streptocoques (S. thermophilus) et saccharomyces (S. boulardii), connu sous le nom d’Ultra-Levure.
Les vrais bienfaits des probiotiques

Les moyens d’action des probiotiques sont multiples et diffèrent d’une souche à l’autre. Voici les principaux effets recensés aujourd’hui :

Ils produisent des bactériocines contre les bactéries exogènes (extérieures à l’organisme) limitant leur nombre ainsi que leur capacité de se multiplier et de coloniser.
Ils stimulent la prolifération et l’activité des cellules de l’immunité (lymphocytes B et T).
Ils neutralisent une partie des toxines secrétées par les bactéries exogènes.
Ils réduisent les phénomènes d’inflammation locale.
Ils participent indirectement au renforcement des systèmes de défense des autres muqueuses, respiratoires et urogénitales notamment.


À chaque probiotique, sa pathologie

La souche L. rhamnosus GG s’est révélée efficace en curatif et en préventif sur l’eczéma atopique du nourrisson. La souche L. fermentum aurait une action bénéfique dans les formes sévères et extensives.
La complémentation en probiotiques des enfants nés avec un petit poids améliore leur rattrapage pondéral et leur immunité vis-à-vis des infections particulièrement fréquentes dans cette situation.
L’utilisation de L. fermentum réduit les épisodes de rhinopharyngite et de bronchite hivernale chez les sportifs.
Les souches L. rhamnosus GG, L. casei Shirota, L. casei Defensis, L. bulgaricus + S. thermophilus diminuent la sévérité et la durée des épisodes diarrhéiques.
Les associations de S. thermophilus + B. bifidum et de S. thermophilus + B. breve diminuent la fréquence des épisodes diarrhéiques au sein des populations à risque.
La souche L. reuteri protectis réduit d’environ 60 % la fréquence des infections respiratoires et gastro-intestinales et la durée des arrêts de travail ou d’absence à la crèche.
Les lactobacilles révèlent in vitro un effet bactériostatique, voire bactéricide sur Helicobacter pylori. Et in vivo, ils réaliseraient une bonne prévention des infections imputées à ce germe.
Les souches L. planturum et L. rhamnosus GG améliorent la symptomatologie du syndrome de l’intestin irritable. Selon certaines études, ils auraient sur la rectocolite hémorragique une efficacité comparable à celle du traitement standard.
La prise quotidienne de probiotiques de la souche L. acidophilus élève d’environ 20 % le seuil de la douleur des sujets porteurs de troubles fonctionnels intestinaux et réduit proportionnellement leur ressenti douloureux.

Mal tolérés dans certains cas

Les probiotiques se révèlent donc fréquemment utiles. Pour autant dans un pourcentage non négligeable de cas, la prise de ces levures peut entraîner un cortège de troubles digestifs, tout particulièrement chez les personnes qui semblent en avoir le plus besoin !

L’inconfort qu’ils procurent est parfois si intense qu’il commande l’arrêt rapide et qu’il induit une méfiance durable pour tout autre produit de la gamme. Plusieurs causes peuvent expliquer cette réaction.

C’est le cas quand le patient est atteint d’une inflammation chronique de la muqueuse intestinale dont l’une des conséquences est l’hyperperméabilité. Cela peut aussi être dû à une intoxication importante (y compris celle liée aux pesticides, mercure, etc.) ou à un déséquilibre trop important des bactéries au niveau du gros intestin.

Dans ces différentes situations, la prise de probiotiques n’est pas interdite, mais il est nécessaire de traiter le problème sous-jacent avant d’y avoir recours.
Ne prenez pas seulement des probiotiques si...

Dès lors que vous êtes confronté à un inconfort digestif chronique, à des colites spasmodiques, des rectocolites hémorragiques et a fortiori à une maladie de Crohn, il est plutôt conseillé de suivre un des protocoles suivants.

Protocole basé sur la Boswellia serrata
Une plante traditionnelle, la Boswellia serrata, est connue pour réduire l’inflammation de la muqueuse intestinale. Son extrait doit être titré à 65 % d’acide boswellique et on en prendra 1 à 1,5 g par jour pendant un minimum de trois mois avant de lui associer un probiotique et des prébiotiques. L’aloé vera se révèle aussi efficace (1 cuiller à café de gel deux fois par jour, voire plus après avis spécialisé).

Protocole basée sur l’aromathérapie
Afin d’éliminer les bactéries indésirables, prendre pendant le premier mois un complexe d’huiles essentielles d’ajowan, de cannelle (écorce), de clou de girofle, d’origan, de niaouli, de pamplemousse (zeste) et d’huile de périlla (Alternative : 2 capsules avant chaque repas). Les HE restaurent le terrain immunitaire, l’huile de périlla (riche en oméga 3) aide à la cicatrisation de la muqueuse. Ensuite, afin de rétablir une flore intestinale satisfaisante, prendre une formule de 13 HE à l’huile de périlla (Dysbios’Arom : 2 capsules, trois fois par jour). Enfin, avoir recours aux probiotiques. Dans ce protocole du laboratoire Salvia, il s’agit d’une association d’aloé vera et de sept souches probiotiques (Aloès Biotic : 2 capsules, trois fois par jour, du troisième au cinquième mois).

Protocole basé sur l’aromathérapie et la phytothérapie
Élaborés par le laboratoire Sofibio, les produits suivants sont associés pendant un minimum de trois mois. Le premier complexe regroupe bromélaïne, papaïne, curcumine, vitamine B1PP, zinc et 5 MOP – extrait de bergamote – (Cica Derm : 2 à 3 gélules, deux fois par jour). Il vise à lutter contre les réactions inflammatoires et œdémateuses, le stress oxydant et à favoriser la cicatrisation.

Le second est une chlorophylle hautement concentrée qui a la propriété de piéger les métaux lourds. Elle neutralise de plus les toxines de certains germes et stimule fortement la régénération cellulaire (Chloro 250 : 2 à 4 gélules chaque soir). Le troisième est un complexe de sept souches probiotiques (Flore Protect : 3 gélules, 2 fois par jour).

De façon générale, n’oublions pas l’importance de l’hygiène de vie :

Il convient de privilégier une alimentation hypotoxique issue de l’agriculture biologique, sans lactose, allégée en fructose et d’abandonner totalement la restauration rapide et les plats tout préparés.
La mastication au cours des repas joue aussi un rôle.
Enfin, il est préférable de remplacer le dentifrice habituel par un dentifrice bio, d’apprendre à gérer son stress et enfin de se libérer de toute addiction.

Attention : Les probiotiques ne sont pas sans danger. Une première contre-indication est aujourd’hui bien établie : il s’agit de leur administration au cours des pancréatites aiguës. Non seulement elle ne limite pas le risque infectieux mais elle augmente significativement le risque de décès.
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