12-19-2011, 10:41 AM
Bonjour Divinuso,
Tu as raison de soulever cette question : à la longue, on a tendance à devenir des intégristes du régime, ce qui n'est pas bon pour le moral (très important), ni pour le corps qui a besoin d'une nourriture variée.
Après un long régime, on peut quand même espérer que notre système immunitaire a retrouvé un certain équilibre, et que des écarts peuvent être progressivement introduits. En ce qui me concerne, je conserve mon régime de base, mais j'introduis un à un des produits non conseillés, que je ne consomme que tous les 5 jours : un peu de vin, du pain complet (sans levure), du fromage de chèvre, un café, des fruits, etc...
Très vite, je peux observer si ces écarts sont tolérés ou non. Je suis donc un peu plus prudent que toi dirait-on, mais sur le fond, je partage ton opinion : se faire plaisir est essentiel, et il serait intéressant de rechercher l'impact que peut avoir un moral bas ou une déprime sur notre système immunitaire. Le côté psychosomatique n'est pas souvent évoqué dans ce site ni ailleurs et je pense savoir pourquoi : on le lie souvent à l'idée de maladie psychologique, alors que l'influence du psy sur le physique est bien réel.
Tu as raison de soulever cette question : à la longue, on a tendance à devenir des intégristes du régime, ce qui n'est pas bon pour le moral (très important), ni pour le corps qui a besoin d'une nourriture variée.
Après un long régime, on peut quand même espérer que notre système immunitaire a retrouvé un certain équilibre, et que des écarts peuvent être progressivement introduits. En ce qui me concerne, je conserve mon régime de base, mais j'introduis un à un des produits non conseillés, que je ne consomme que tous les 5 jours : un peu de vin, du pain complet (sans levure), du fromage de chèvre, un café, des fruits, etc...
Très vite, je peux observer si ces écarts sont tolérés ou non. Je suis donc un peu plus prudent que toi dirait-on, mais sur le fond, je partage ton opinion : se faire plaisir est essentiel, et il serait intéressant de rechercher l'impact que peut avoir un moral bas ou une déprime sur notre système immunitaire. Le côté psychosomatique n'est pas souvent évoqué dans ce site ni ailleurs et je pense savoir pourquoi : on le lie souvent à l'idée de maladie psychologique, alors que l'influence du psy sur le physique est bien réel.