10-26-2012, 05:37 PM
(Modification du message : 10-26-2012, 05:50 PM par LolaFleurie.)
Pour ma part, je pense que ces manifestations dans la gorge ont deux raisons possibles :
- Soit c'est un symptôme déjà connu et c'est manifestement un signal que le Candida est en pleine recrudescence.
- Soit c'est un symptôme totalement nouveau, qui se manifeste pendant que le régime est suivi et que des soins sont apportés par d'autres moyens pour éradiquer le Candida, et c'est alors plutôt le signe qu'il est dérangé par nos stratégies guerrières et qu'il se déplace pour survivre... Autrement dit c'est comme avec une pelure d'oignon qu'on en lève, on arrive progressivement à des couches plus profondes de l’installation de notre hôte.
Pour ce qui me concerne, il semble que je sois plutôt dans la deuxième situation et que ces manifestations dans la gorge m'indiquent un chemin pour attaquer l'ennemi.
Par contre, les grattements dans l'oreille, je connais ça depuis fort longtemps et j'interprète ces signaux comme de très mauvais signes, enfin... comme des signes de régression je veux dire.
Je pense en tout cas qu'il n'y a pas une réponse mais deux réponses possibles et que seul l'intéressé est en mesure de trancher selon ce qu'il vit et a mis en place au moment où les symptômes se manifestent.
A toi Mathilde d'interpréter les tiens.
Me concernant :
Après bien des explorations au sujet de ces glaires (ou crachats mousseux, ca dépend des jours
... Euh... désolée pour ces détails un peu scabreux 
), je suis en mesure d'affirmer aujourd'hui qu'il s'agit de mucosités accumulées au fond des sinus, qui s'écoulent plus ou moins violemment au cours de la journée.
En fait, je n'ai absolument pas le nez bouché, d'où tout ce temps passé à ne pas comprendre d'où ils pouvaient provenir.
En me promenant sur le net et en interrogeant autour de moi, j'ai fini par trouver que deux probabilités plus sérieuses que d'autres pouvaient être à l'origine de glaires continus dans la gorge (quand il n'y a pas de rhume ou de bronchite évidemment) : des reflux gastriques acides ou des écoulements depuis les sinus.
Je ne croyais pas du tout (toujours me concernant) à la première hypothèse (elle peut évidemment en concerner d'autres), j'ai donc voulu vérifier du côté des sinus même si je n'avais aucun symptôme visible de ce côté et que les glaires me semblaient (du point de vue de la sensation) davantage remonter que descendre dans la gorge.
[J'ai un passé nez-gorge-oreilles tellement plus prometteur de séquelles : la situation était par trop tentante !
NDLR]
Du coup, j'ai pris ma brosse à dents électrique et j'ai délicatement brossé l'arrivée des sinus dans la gorge comme pour un massage (attention, si vous voulez faire l'expérience : la peau du palais est très tendre à cet endroit, donc très fragile, il faut être d'une grande douceur ; attention aussi ! la première fois ça donne vraiment vraiment de chez vraiment atrocement envie de voooooooômir !)
Résultat immédiat : des glaires, des glaires et encore des glaires, un truc inépuisable s'est mis à couler dans ma gorge. Je crois que j'ai passé une bonne demi-heure à cracher un truc inépuisable (un truc du genre la poule aux œufs d'or sauf que ce n'était pas des œufs d'or
).
Depuis, j'ai une extinction de voix.
Bon ça vous parait pas une trouvaille libératrice et vous avez raison ! Je ne vais pas me réjouir d'avoir le nez prolifique (ou proliférateur, ca se discute), et d'en rester sans voix.
Mais pas sans plume puisque j'en tire quelques conclusions
:
1/ On peut avoir des symptômes qui dorment à tout endroit du corps et qui ne demandent qu'à se manifester. S'ils se taisent c'est que, pour l'instant, d'autres sont plus bruyants et prennent toute la place. Ils parleront quand un autre disparaîtra (pour moi : muguet buccal qui, traité avec acharnement, révèle ces glaires avec brulures).
Autrement dit, un symptôme nouveau serait le signe de la prise de parole, en quelque sorte, d'un organe atteint sans doute depuis longtemps, mais qui se tait parce que, précisément, il s'était accoutumé. Le corps reprendrait donc ses droits à la parole.
Soyons optimiste et réjouissons-nous.
2/ En luttant contre le candida, on révèlerait donc des symptômes jusqu'ici inconnus.
De son côté, le corps, enfin compris et entendu, ne voudrait plus se taire : à chaque écart, il va donc se mettre à hurler par tous les moyens (anciens symptômes + nouveaux symptômes). D'où effectivement, la tendance à se sentir de plus en plus malade quand on avance dans la lutte (intolérances alimentaires de plus en plus nombreuses, manifestations pour un simple carreau de chocolat... etc.)
Restons optimistes : ça ne veut donc pas dire qu'on est davantage malade ou sensible mais simplement que le corps est beaucoup plus loquace.
3/ J'ai donc toujours des problèmes de nez-gorge-oreilles sans le savoir (mauvaise nouvelle) : je vais retourner voir mon otorhino, c'est un type très bien (bonne nouvelle)
4/ Euh.... la propolis c'est bon pour la gorge, je crois, hein c'est bien ça ?
PS pour Carolina : l'avantage du régime acido-basique c'est qu'au fond rien n'est interdit. Tu aimes les oranges ? Mange ou bois des oranges mais mange ou bois au moins l'équivalent, sinon le double, en alimentation basifiante.
Dis donc, Gema !!! T'es allée vraiment plus vite que moi, pour répondre, toi !
- Soit c'est un symptôme déjà connu et c'est manifestement un signal que le Candida est en pleine recrudescence.
- Soit c'est un symptôme totalement nouveau, qui se manifeste pendant que le régime est suivi et que des soins sont apportés par d'autres moyens pour éradiquer le Candida, et c'est alors plutôt le signe qu'il est dérangé par nos stratégies guerrières et qu'il se déplace pour survivre... Autrement dit c'est comme avec une pelure d'oignon qu'on en lève, on arrive progressivement à des couches plus profondes de l’installation de notre hôte.
Pour ce qui me concerne, il semble que je sois plutôt dans la deuxième situation et que ces manifestations dans la gorge m'indiquent un chemin pour attaquer l'ennemi.
Par contre, les grattements dans l'oreille, je connais ça depuis fort longtemps et j'interprète ces signaux comme de très mauvais signes, enfin... comme des signes de régression je veux dire.
Je pense en tout cas qu'il n'y a pas une réponse mais deux réponses possibles et que seul l'intéressé est en mesure de trancher selon ce qu'il vit et a mis en place au moment où les symptômes se manifestent.
A toi Mathilde d'interpréter les tiens.
Me concernant :
Après bien des explorations au sujet de ces glaires (ou crachats mousseux, ca dépend des jours
... Euh... désolée pour ces détails un peu scabreux ), je suis en mesure d'affirmer aujourd'hui qu'il s'agit de mucosités accumulées au fond des sinus, qui s'écoulent plus ou moins violemment au cours de la journée.En fait, je n'ai absolument pas le nez bouché, d'où tout ce temps passé à ne pas comprendre d'où ils pouvaient provenir.
En me promenant sur le net et en interrogeant autour de moi, j'ai fini par trouver que deux probabilités plus sérieuses que d'autres pouvaient être à l'origine de glaires continus dans la gorge (quand il n'y a pas de rhume ou de bronchite évidemment) : des reflux gastriques acides ou des écoulements depuis les sinus.
Je ne croyais pas du tout (toujours me concernant) à la première hypothèse (elle peut évidemment en concerner d'autres), j'ai donc voulu vérifier du côté des sinus même si je n'avais aucun symptôme visible de ce côté et que les glaires me semblaient (du point de vue de la sensation) davantage remonter que descendre dans la gorge.
[J'ai un passé nez-gorge-oreilles tellement plus prometteur de séquelles : la situation était par trop tentante !
NDLR]Du coup, j'ai pris ma brosse à dents électrique et j'ai délicatement brossé l'arrivée des sinus dans la gorge comme pour un massage (attention, si vous voulez faire l'expérience : la peau du palais est très tendre à cet endroit, donc très fragile, il faut être d'une grande douceur ; attention aussi ! la première fois ça donne vraiment vraiment de chez vraiment atrocement envie de voooooooômir !)
Résultat immédiat : des glaires, des glaires et encore des glaires, un truc inépuisable s'est mis à couler dans ma gorge. Je crois que j'ai passé une bonne demi-heure à cracher un truc inépuisable (un truc du genre la poule aux œufs d'or sauf que ce n'était pas des œufs d'or
).Depuis, j'ai une extinction de voix.
Bon ça vous parait pas une trouvaille libératrice et vous avez raison ! Je ne vais pas me réjouir d'avoir le nez prolifique (ou proliférateur, ca se discute), et d'en rester sans voix.
Mais pas sans plume puisque j'en tire quelques conclusions
: 1/ On peut avoir des symptômes qui dorment à tout endroit du corps et qui ne demandent qu'à se manifester. S'ils se taisent c'est que, pour l'instant, d'autres sont plus bruyants et prennent toute la place. Ils parleront quand un autre disparaîtra (pour moi : muguet buccal qui, traité avec acharnement, révèle ces glaires avec brulures).
Autrement dit, un symptôme nouveau serait le signe de la prise de parole, en quelque sorte, d'un organe atteint sans doute depuis longtemps, mais qui se tait parce que, précisément, il s'était accoutumé. Le corps reprendrait donc ses droits à la parole.
Soyons optimiste et réjouissons-nous.
2/ En luttant contre le candida, on révèlerait donc des symptômes jusqu'ici inconnus.
De son côté, le corps, enfin compris et entendu, ne voudrait plus se taire : à chaque écart, il va donc se mettre à hurler par tous les moyens (anciens symptômes + nouveaux symptômes). D'où effectivement, la tendance à se sentir de plus en plus malade quand on avance dans la lutte (intolérances alimentaires de plus en plus nombreuses, manifestations pour un simple carreau de chocolat... etc.)
Restons optimistes : ça ne veut donc pas dire qu'on est davantage malade ou sensible mais simplement que le corps est beaucoup plus loquace.
3/ J'ai donc toujours des problèmes de nez-gorge-oreilles sans le savoir (mauvaise nouvelle) : je vais retourner voir mon otorhino, c'est un type très bien (bonne nouvelle)
4/ Euh.... la propolis c'est bon pour la gorge, je crois, hein c'est bien ça ?
PS pour Carolina : l'avantage du régime acido-basique c'est qu'au fond rien n'est interdit. Tu aimes les oranges ? Mange ou bois des oranges mais mange ou bois au moins l'équivalent, sinon le double, en alimentation basifiante.
Dis donc, Gema !!! T'es allée vraiment plus vite que moi, pour répondre, toi !