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Présentation de Marlène79
#1
Bonjour a toutes et a tous,
Je me présente, Marlène, 23 ans, habitant dans les Deux-Sèvres.
Je me décide de franchir le pas en m'inscrivant sur le forum après y avoir passé beaucoup de temps a vous lire.
Voici mon petit parcours ;
Tout commence il y a bientot 4 mois. Une nuit me prend une envie irreprescible d'uriner, sans douleur, ni sang, juste une fausse envie constante d'uriner. Alors fatalement pour moi pas de doute, c'est une cystite. Le lendemain matin je vois mon medecin qui me fait une bandelette urinaire et voit quelque leucocytes...ce jour la jai aussi un peu de fièvre et pense a une pyelonephrite et m'envoi passer une analyse d'uriner ainsi qu'une echo pelvienne dans la journee. En attendant il me donne un traitement de 10 jours et me dis que je devrais etre remise d'ici 2 jours et que je pourrai reprendre mon travail lundi prochain
L'echo ne montre rien du tout, tout est parfaitemenrt normal et mes résultats d'analyses d'urines egalement, RAS. Le traitement ne m'a absolument rien fait non plus. Je commence a prendre peur et a me poser beaucoup de questions. Les jours passent et devienne de plus en plus invalidents dans ma vie quotidienne, mon medecin me met en arret en me disant biensur que pour lui, tout cela est psycho saumatique
saumatique...Certes mon travail me pèse et aie eu affaire a du harcellement moral de la part d'une collègue, j'exploite la piste du travail sans trop de conviction. 2 semaines passent, toujours ce meme soucis quotidien qui me gâche la vie et m'inquiete terriblement. Je decide de reprendre le travail. Ca se passe mal, je n'arrive pas a rentrer dans l'etablissement, je suis petrifiee, mais pourquoi ? Surement par la peur de ne pas arriver a me controler et de m'uriner dessus. Je fini tout de meme par y retourner et a travailler tant bien que mal mais ce soucis esr omnipresent et me pese de plus en plus. Le fait d'arriver bosser en ayant envie d'uriner puis de rentrer chez moi avec toujours ce besoin que je me peux satisfaire est tres dur et me demoralise a petit feu. Je fini par retourner voir le medecin lui disant que ca ne va plus du tout, je n'arrive plus a travailler. Content de lui en me disant que pour lui, c'est certain que tout venait du stress, me met sous antidepresseur, Mirtazapine, a faible dose, car je ne dors plus depuis très longtemps. Il pense que ca devrait finir par passer avec ce traitement... Peu convaincue je met quelque jours avant de commencer mon traitement. Deja presque un mois que mes soucis urinaires ne me lache plus, c'est l'angoisse totale ! Le traitement est bien supporté mais ne m'apporte ni sommeil ni bien etre ni ne me retire mon soucis ! Jai ete voir mon gyneco pour un frottis afin d'ecarter une cause gynecologique. Mes resultat revienne negatifs, RAS. Il me donne du Ceris pour un 1 mois pensant a une vessie instable. Peu de temps apres le traitement des troubles du transit se font sentir. Je vais 5 fois par jour a la selle et celles ci sont normales. Puis une perte d'appetit commence a apparaitre, puis des selles tres molles et glaireuses a chaque fois que je vais a la selle. Ces soucis on commencé a apparaitre peu de temps apres avoir commencé l'antidepresseur mais ayant fait un arret de quelque jours mes symptomes ont persistés a mon grand regret ! Une digestion lente et lourde viennent ensuite, rots frequents et sensation de nausees, quelque remontées acides le soir, et c'est le debut du cauchemar pour moi qui suis emetophobe depuis des annees ! Je vivais très bien avec cette phobie qui me rappellai uniquement a l'ordre en hiver au temps des gastros. Maintenant jai le sentiment d'etre confronté a ma phobie 24/24 et je ne vis plus du tout. Je me coupe du monde par peur de me sentir mal devant eux, je ne vais plus aux courses et c'est mon ami qui se charge de tout. Après 2 tres longs mois mes soucis urinaires cessent plutot naturellement mais avec mes soucis digestifs qui ont pris le relais c'est invivable. Etant donné que je ne mange que tres peu et ne dors pas, je suis tres fatigués, des vertiges apparaissent et des troubles de la vision egalement. Mon humeur est très changeante, je passe du rire aux larmes. Je regrette tellement ma vie d'avant, je ne me reconnais plus et ne sait pas ce qui m'arrivent. Ca me fait tres peur car je ne profite de rien et passe a coté de plein de choses a cause de tout ces soucis et me voila maintenant en pleine depression du coup. Jai remarqué que c'etait pire en etat de stress biensur. Je dois voir un autre medecin demain qui jespere lui m'ecoutera rt me fera passer des analyses plus approfondies pour mettre un mot sur mes maux. Je suis totalement desespéree de me retrouver ainsi, ce n'est plus moi. Au vue de ces symptomes et ceux du candida, jai fait le rapprochement, pensant meme que mes soucis digestifs oourraient etre dus aux traitements que jai eux et qui ont ete innefficaces. J'aimai obtenir des avis ainsi que savoir si il y a des cas similaires au mien svp. Je suis desolee pour le pavé qui je l'espere ne vous fera pas fuir.

Merci a vous
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#2
Attention à ne pas vous carencer d'un point de vue nutritif. Ce peut être l'occasion de faire plus attention que d'habitude à ce que vous mangez. Rien de tel que de reprendre les bases de la nutrition, la part de glucides/protides/lipides, les vitamines et les oligoéléments.

Pour le pavé, il suffit de faire édition rapide et de sous-poudrer quelques "retour-chariot" ici et là pour créer des lignes vides et ainsi aérer le texte qui n'est autrement pas si long.

Sur le fond, je dirais qu'il ne faut peut-être pas tout mettre sur le dos du candida. Il y a pléthores de pathogènes qui peuvent entraîner occasionnellement des dysfonctionnements divers et variés. Il y a les bactéries, les virus, les fungus et sans doutes bien d'autres étrangetés. Le modus operandi n'est pas toujours très caractérisé, quelque soit l'attaque le corps réagit par des inflammations pour éviter la propagation de l'agent infectieux. Cela peut causer des rougeurs, des maux de têtes, des états fébriles, des sensations de faiblesse, des nausées et vomissements. Mais pour différencier et repérer une prolifération de la forme fongique du candida il faut chercher une langue blanche, souvent des atteintes cutanées externes récidivantes, des démangeaisons, etc...

Pour la dépression, rien de tel pour en profiter pour réfléchir un peu sur soi même, d'où viennent ses angoisses, faire de la relaxation, du sport, voire de la méditation. Éventuellement un travail thérapeutique même si c'est pas donné il faut l'avouer, du moins essayer d'en parler avec d'autres personnes ayant les mêmes phobies.
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