07-30-2015, 07:18 AM
Incroyable, je viens de passer ma quatrième nuit sans réveil dus à des douleurs ou nausées. J'ai 2 mois de sommeil à rattraper et malgré ses 4 nuits sereines, je me sens encore plus fatiguée !
Mon mari me disait pour plaisanter que ce bien être nocturne était du à l'arrêt de consommation d'ail. En effet, il n'apprécie pas du tout mon haleine et me sort à chaque fois que je suis allergique à l'ail. Sur le coup j'ai rigolé et je me suis dit qu'il cherchait des excuses. Mais en fait je me demande si finalement il aurait pas raison. Je consomme des alliacées quotidiennement crus et cuits car j'adore ça et je connais leurs vertus. En ce moment je suis en rupture de stock et hier j'ai regardé une vidéo de Bernard Clavières qui conseillait de ne pas manger ces aliments là pour des raisons qui m'ont paru obscures.
Je vois 2 possibilités : les alliacées contiennent une propriété incompatible avec mes problèmes actuels ou alors ils sont tellement efficaces qu'ils remuent tout cette mélasse de bactéries pathogènes et métaux lourds. On sait que l'ail par exemple est un capteur de métaux lourds, principalement le plomb. Plomb dont je suis intoxiquée et qui attaque les os entre autre. Mais pourquoi quand je suis en repos et surtout la nuit ? Bref, lorsque je remangerai de l'ail je serais plus attentive aux réactions.
Bien sur je n'exclue pas que les alliacées n'ont peut-être rien à voir dans cette histoire.
Sinon j'ai commencé mon jeûne un peu en avance, en effet je me suis goinfrée au goûter et tout de suite après, j'ai eu envie de dormir alors que j'avais fait une sieste précédemment. Je me sentais pas bien et j'ai opté pour zapper le dîner et finalement, j'en profite pour jeûner. Les tracas commencent déjà ce matin avec une douleur au niveau du rein qui cafouille. Je fais un jeûne strict à l'eau et pour une durée indéterminée mais qui sera court je pense car j'ai une marge de sécurité assez faible de 4 kg. Je suis déjà descendu à 40 kg avec le végétarisme et j'étais vraiment mal au point, je ne peux pas me permettre d'aller en dessous. Evidemment si je me sens trop mal ou trop faible, je romprais le jeûne avec un demi jeune si possible. On verra, je laisse les commandes à mon corps, ça me fera du bien d'essayer de ne pas toujours tout contrôler et planifier.
Mon mari me disait pour plaisanter que ce bien être nocturne était du à l'arrêt de consommation d'ail. En effet, il n'apprécie pas du tout mon haleine et me sort à chaque fois que je suis allergique à l'ail. Sur le coup j'ai rigolé et je me suis dit qu'il cherchait des excuses. Mais en fait je me demande si finalement il aurait pas raison. Je consomme des alliacées quotidiennement crus et cuits car j'adore ça et je connais leurs vertus. En ce moment je suis en rupture de stock et hier j'ai regardé une vidéo de Bernard Clavières qui conseillait de ne pas manger ces aliments là pour des raisons qui m'ont paru obscures.
Je vois 2 possibilités : les alliacées contiennent une propriété incompatible avec mes problèmes actuels ou alors ils sont tellement efficaces qu'ils remuent tout cette mélasse de bactéries pathogènes et métaux lourds. On sait que l'ail par exemple est un capteur de métaux lourds, principalement le plomb. Plomb dont je suis intoxiquée et qui attaque les os entre autre. Mais pourquoi quand je suis en repos et surtout la nuit ? Bref, lorsque je remangerai de l'ail je serais plus attentive aux réactions.
Bien sur je n'exclue pas que les alliacées n'ont peut-être rien à voir dans cette histoire.
Sinon j'ai commencé mon jeûne un peu en avance, en effet je me suis goinfrée au goûter et tout de suite après, j'ai eu envie de dormir alors que j'avais fait une sieste précédemment. Je me sentais pas bien et j'ai opté pour zapper le dîner et finalement, j'en profite pour jeûner. Les tracas commencent déjà ce matin avec une douleur au niveau du rein qui cafouille. Je fais un jeûne strict à l'eau et pour une durée indéterminée mais qui sera court je pense car j'ai une marge de sécurité assez faible de 4 kg. Je suis déjà descendu à 40 kg avec le végétarisme et j'étais vraiment mal au point, je ne peux pas me permettre d'aller en dessous. Evidemment si je me sens trop mal ou trop faible, je romprais le jeûne avec un demi jeune si possible. On verra, je laisse les commandes à mon corps, ça me fera du bien d'essayer de ne pas toujours tout contrôler et planifier.
