03-18-2012, 06:34 PM
Mouarf, dans mon cas, c'est l'inverse.
L'inverse d'abord pour le médecin, mon généraliste "officiel" a passé énormément de temps à essayer de m'aider, m'a fait passer des tas de tests, et a admis ses limites en me parlant d'un problème d'équilibre, de terrain.
La naturopathe que j'ai vue ensuite a décidé que j'avais un herpès. Elle m'a traité pour un herpès. Elle a été hermétique à tout autre possibilité.
Quand le traitement n'a rien arrangé, elle m'a dit que j'étais colopathe et qu'il n'y avait pas de solution.
L'inverse également pour le savoir. Pendant deux ans et demi, j'ai eu confiance en les médecins, je les ai laissés me tester dans tous les sens, radios, irm, analyses sanguines, rendez-vous chez le psy, le gastro, l'endocrino, j'ai avalé tous ce qu'on me prescrivait... Sur toute cette période, je les ai laissés réfléchir à ma place concernant ma santé, j'avais bien d'autres chats à fouetter, des galères administratives, des galères de boulot, des galères de logement.
Je n'ai commencé à aller mieux que quand j'ai décidé de me prendre en main moi-même, à force d'en avoir marre de passer d'une pathologie à une autre, et à force d'aller de plus en plus mal.
J'ai commencé à aller mieux parce que j'ai enfin accepté que j'étais malade, et non stressée, et que j'ai commencé à écouter mon corps et le laisser me guider.
Ce n'est d'ailleurs qu'à partir de ce moment-là que j'ai réussi à lâcher prise, quand j'ai su que ce que je ressentais était réel.
Je dirais presque que le fait de me réapproprier ma douleur au lieu de la mettre dans les mains du corps médical m'a aidée à mieux la gérer. Comme quoi hein, on fonctionne tous très différemment.
L'inverse d'abord pour le médecin, mon généraliste "officiel" a passé énormément de temps à essayer de m'aider, m'a fait passer des tas de tests, et a admis ses limites en me parlant d'un problème d'équilibre, de terrain.
La naturopathe que j'ai vue ensuite a décidé que j'avais un herpès. Elle m'a traité pour un herpès. Elle a été hermétique à tout autre possibilité.
Quand le traitement n'a rien arrangé, elle m'a dit que j'étais colopathe et qu'il n'y avait pas de solution.
L'inverse également pour le savoir. Pendant deux ans et demi, j'ai eu confiance en les médecins, je les ai laissés me tester dans tous les sens, radios, irm, analyses sanguines, rendez-vous chez le psy, le gastro, l'endocrino, j'ai avalé tous ce qu'on me prescrivait... Sur toute cette période, je les ai laissés réfléchir à ma place concernant ma santé, j'avais bien d'autres chats à fouetter, des galères administratives, des galères de boulot, des galères de logement.
Je n'ai commencé à aller mieux que quand j'ai décidé de me prendre en main moi-même, à force d'en avoir marre de passer d'une pathologie à une autre, et à force d'aller de plus en plus mal.
J'ai commencé à aller mieux parce que j'ai enfin accepté que j'étais malade, et non stressée, et que j'ai commencé à écouter mon corps et le laisser me guider.
Ce n'est d'ailleurs qu'à partir de ce moment-là que j'ai réussi à lâcher prise, quand j'ai su que ce que je ressentais était réel.
Je dirais presque que le fait de me réapproprier ma douleur au lieu de la mettre dans les mains du corps médical m'a aidée à mieux la gérer. Comme quoi hein, on fonctionne tous très différemment.